La pollution sonore, dans l’environnement de sites industriels notamment, n’est pas une fatalité puisqu’elle peut être empêchée ou combattue à l’aide de technologies dédiées: ITS commercialise des solutions pour la prévention et le traitement de la pollution sonore de l'environnement.

Effets de la pollution sonore de l'environnement

Les effets de la pollution sonore de l'environnement sont la rupture du nécessaire équilibre entre l'environnement sonore naturel et les émissions acoustiques liées aux activités humaines (c'est à dire: une dégradation du paysage sonore).

Pour que cela n'adivenne pas, il convient de se préoccuper de l'impact, en termes de bruit, d'installations - e.g. industrielles, liées à des infrastructures de transport, impliquant des matériels de Chauffage Ventilation Climatisation (CVC) - ou de chantiers de construction:

  • vis-à-vis de limites pour les niveaux sonores, non seulement en niveau global pondéré - en dB(A) - mais aussi en termes de composantes tonales: (en considérant un spectre de tiers d’octave non pondéré) quand le niveau dans une bande de fréquence dépasse de 5 dB ou plus le niveau moyen des deux bandes de fréquence adjacentes de 400 Hz à 6300 Hz ou de 10 dB celui des deux bandes de fréquence adjacentes de 63 à 315 Hz
  • vis-à-vis des valeurs admissibles pour l'émergence ; il s’agit de la différence entre les niveaux de pression continus équivalents pondérés A du bruit ambiant (source sonore polluant l'environnement en fonctionnement) et du bruit résiduel (en l’absence du bruit généré par la source sonore polluant l'environnement, mais mesuré sur sa période de fonctionnement) qui est réglementairement limitée (en France) dans les zones à émergence réglementée (ZER), et selon le contexte: 5 ou 6 dB(A) en période diurne et 3 ou 4 dB(A) en période nocturne

Moyens de prevention et de traitement de la pollution sonore de l'environnement

La transmission, vers l’extérieur, du bruit émis par des machines dans des ateliers ou par des équipements de process variés peut être limitée au moyen de bâtiments à haute performance acoustique i.e. pour lesquelles l’enveloppe (murs et toiture) est réalisée à l’aide de systèmes constructifs possédant un affaiblissement acoustique élevé.

pollution sonore et environnement

ITS commercialise des solutions pour la prévention et le traitement de la pollution sonore de l'environnement

   

Pour des applications industrielles impliquant une démontabilité des parois (ce qui est souvent le cas), des panneaux modulaires d’isolation acoustique multicouches permettent d’assurer cette fonctionnalité tout en limitant l’amplification des niveaux sonores à l’intérieur des halls de production ou de salles des machines s’ils sont revêtus sur leur face interne d’un matériau absorbant.

De tels bâtiments insonorisés doivent disposer de systèmes de ventilation intégrant des silencieux pour éviter la propagation du bruit au travers des ouvertures destinées à l’aspiration et au refoulement.

Pour ce qui est du bruit émis par des auxiliaires installés en extérieur - soit communs tels que des ventilateurs, des aéroréfrigérants, des groupes de réfrigération, soit plus spécifiques tels que des cyclones – eux aussi tous susceptibles d’être à l’origine d’une pollution sonore pour l’environnement, des dispositifs d’insonorisation peuvent envisagés soit « à la source » (capotages, silencieux), soit sous la forme d’écrans (murs anti-bruit) pour protéger une ou plusieurs zones e.g. pour lesquelles l’émergence est réglementée (ZER).

S’agissant des évents permettant la mise à l’atmosphère de gaz sous pression et des cheminées, des silencieux permettent là encore de restreindre les émissions sonores.

ITS définit, sélectionne et commercialise tous les dispositifs de lutte contre la pollution sonore, pour la protection de l'environnement.

Grâce à ces matériels, dont la performance fait l’objet d’une garantie, l’environnement de sites industriels est préservé de toute gêne de nature à constituer un trouble pour le voisinage.

L'expérience de la ressource humaine de ITS permet, dans tous les contextes, le meilleur choix de moyens de lutte contre la pollution sonore (qu'il s'agisse de prévention ou de traitement pour remédier à des désordres), tenant compte - bien sûr - d'impératifs acoustiques, mais aussi des contigences de tous ordres e.g. techniques, financières, organisationnelles dont la considération est nécessaire à la réussite d'un projet destiné à prévenir ou à réduire des désordres en relation avec la propagation d'un bruit excessif. Pour se faire, peuvent être engagés différents moyens:

  • mesurage sur site e.g. relevés sonométriques
  • simulations en acoustique prévisionnelle e.g. études d'impact basées sur des scénarios de traitement de sources de bruit, ou de modification de la propagation sonore
  • partenariats commerciaux e.g. pour la construction de matériels d'insonorisation et la réalisation de travaux d'isolation acoustique

Qu'on se le dise !