La réduction du bruit des ventilateurs et autres extracteurs est une nécessité induite par la présence de tels équipements, dont les émissions sonores sont par nature significatives, dans de nombreuses situations où ils sont de nature à occasionner une nuisance (gêne) sonore, qui doit alors être limitée pour la conformité d'installations vis-à-vis d'impératifs internes ou/et externes à une construction.
Limitation de la nuisance (gêne) sonore due au bruit des ventilateurs et extracteurs dans les bâtiments
Dans les bâtiments, lors qu’il s’agit de Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) ou pour toute autre installation de Chauffage Ventilation Climatisation (CVC) : les climatiseurs (Centrales de Traitement d'Air - CTA), pompes à chaleurs et aéroréfrigérants e.g. associés à une production de froid occupent, dès lors qu’ils incluent au moins un ventilateur, une place de choix parmi les équipements fréquemment incriminés pour la nuisance (gêne) sonore occasionnée ; les extracteurs des cuisines professionnelles peuvent également poser problème, tout comme les systèmes de ventilation de locaux techniques.
Limitation de la nuisance (gêne) sonore due au bruit des ventilateurs et extracteurs dans l'industrie
Dans l’enceinte de sites industriels, des systèmes de ventilation sont fréquemment requis :
- pour de nombreuses installations pour lesquelles un renouvellement d’air (i.e. un apport en air neuf et une évacuation d’air vicié) doit être assuré périodiquement
- pour l’évacuation d’effluents : pour des cabines de peinture, pour des procédés de combustion (e.g. pour des ventilateurs de tirage des cheminées industrielles)
- pour l’évacuation de l’énergie calorifique dissipée par des équipements qui doivent être refroidis : pour des moteurs thermiques (pour certains : groupes électrogènes, avec ou sans ventilateur attelé), mais aussi : pour des pompes, des compresseurs et autres équipements dans des locaux techniques et salles des machines, des capotages abritant des matériels divers, qu’ils soient en dépression ou en surpression
- pour de nombreux procédés faisant intervenir des échanges thermiques par convexion forcée (e.g. impliquant aérocondenseurs, tours de refroidissements)
- pour de nombreuses installations d’aspiration et de transport de matière (rognures, copaux, sciure)
Modalités de la limitation par ITS de la nuisance (gêne) sonore due au bruit des ventilateurs et extracteurs
Selon sa puissance, le bruit des ventilateurs et des extracteurs peut impacter plus ou moins négativement l’espace dans lequel ils sont installés ou/et des espaces contigus ou plus éloignés.
Dépendant du contexte, habitants ou usagers d’une construction (habitation, hôtel, établissement d’enseignement ou de santé, salles sportives), employés (y compris parfois : dans un bureau) ou voisins d’un site industriel doivent être protégés contre le bruit des ventilateurs et autres extracteurs : des émissions sonores excessives peuvent être à l’origine de nuisance (gêne) sonore, qui placent celui qui en est responsable en situation de contravention.
ITS limite la nuisance (gêne) sonore due au bruit des ventilateurs et des extracteurs, avec des niveaux d'interventions possiblement multiples (le cas échéant : tout à la fois), y compris dans le contexte de réseaux aérauliques complexes :
- mesure des niveaux de bruit émis à des emplacements spécifiés (par une ressource humaine qualifiée en mesures physiques, spécialisée en techniques instrumentales, avec des sonomètres dûments étalonnés et vérifiés)
- simulation de l’impact sonore (avec des programmes de calcul en acoustique pour la propagation du bruit dans des espaces intérieurs ou extérieurs)
- analyse et caractérisation de la nuisance (gêne) sonore e.g. dépassement de limites de niveau de pression acoustique, non-respect de critères d’émergence, avec ou sans tonalité marquée (de manière prévisionnelle ou à l'issue de mesurages, par un acousticien employé par ITS)
- étude, définition, et prévision de l’efficacité d’actions et de dispositifs de réduction du bruit (les silencieux pour ventilateurs et autres extracteurs peuvent être dimensionnés par ITS quant à leur performance acoustique et aérodynamique avec des logiciels maison ou bien avec des outils du commerce : CFD, FEM, BEM)
- commercialisation d’équipements d’insonorisation, avec ou sans installation (qualité, durabilité sont des critères rhédibitoires en plus de la performance acoustique - et le cas échéant en termes d'aéraulique, pour les silencieux -)
Qu'il s'agisse d'une installation nouvelle, ou qu'il faille améliorer une situation existante qui pose problème, on peut toujours compter sur la ressource humaine d'ITS pour proposer ce qu'il y a de mieux pour la limitation de la nuisance (gêne) sonore due au buit de ventilateurs et d'extracteurs.
Qu'on se le dise !